Cours de français privé
Un cours privé, mais…
Les cours de français que je propose à destination de tous publics sont payants; mais j’ai à cœur de ne pas fonctionner de manière commerciale.
Quand j’établis un programme de cours, je ne le biaise pas par des arrière-pensées d’ordre pécuniaire, car il me semble (avec mes salutations à ceux qui le font…) que ce n’est pas une manière correcte de travailler.
On peut « vendre » des voitures ou des paires de chaussures; mais pas des cours.
Concrètement, comment cette philosophie s’incarne-t-elle?
1. le bilan (et donc le volume d’heures nécessaires pour atteindre l’objectif) est strictement pédagogique, et totalement dissocié de l’aspect financier: la facture n’influence pas le programme.
2. j’adapte ensuite mes tarifs aux revenus de chacun, persuadé que l’investissement financier est (l’)une (des) composante(s) de l’engagement dans son apprentissage mais qu’il se doit de rester raisonnable et accessible.
Le bilan de départ est gratuit et personnalisé.